Mission plongée de Tokyo à Izu au Japon

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Avec ses 29,751 km de côtes et ses 6,852 îles, il est facile d’imaginer que le Japon cache quelques sites de plongée dignes d’intérêt. Non seulement c’est le cas, mais en plus certains sont tout simplement exceptionnels. Cependant le Japon n’est pas une des destinations de prédilection des plongeurs internationaux pour une bonne raison : la barrière de la langue. La communauté de plongeurs nippone est pourtant dynamique, il y a de nombreux clubs autour de l’archipel, mais quasiment aucun d’entre eux ne propose de service en anglais (encore moins en français). Si vous ne pouvez pas comprendre un briefing de plongée en japonais, oubliez la plongée. La seule exception serait Okinawa, qui a commencé à se faire un nom à l’international en tant que LA destination de plongée au Japon. Cet ensemble d’îles tropicales se trouvent à 640 km au sud de l’île principale du Japon. Là-bas on peut y trouver des centres de plongée avec des divemasters et instructeurs parlant anglais car pour des raisons historiques, Okinawa héberge une base de l’armée américaine. Mais alors, si veut uniquement visiter l’archipel principal avec des villes comme Tokyo, Kyoto et Osaka, et que l’on veut tenter une plongée ou deux, comment faire?

C’est la première fois que j’écris sur le Japon, mais je n’en suis pas à mon premier voyage. J’ai longuement fait des recherches sur les sites de plongée au Japon car réussir à y plonger faisait parti de mes rêves. Vous savez que ce qui compte le plus pour moi est de réussir à mêler plongée sous-marine et découverte culturelle à chacun de mes voyages. En l’occurence, le Japon et moi, c’est une longue histoire. Pendant 25 ans, que ce soit au travers de mes lectures de mangas de type shojo en tant que petite fille, de mes entrainements de judo en tant qu’adolescente, de mes cours de japonais en tant qu’étudiante et finalement en commençant ma carrière d’ingénieure dans une société japonaise, j’ai été passionnée par le Japon depuis encore plus longtemps que par la plongée. Ces deux passions devaient se rejoindre un jour. C’est pourquoi, pour mon troisième voyage au pays du soleil levant, je me devais de partir en mission plongée, par n’importe quel moyen.

Il y a 2 ans, j’ai trouvé le blog de Bonnie, Rising Bubbles. Mi anglaise, mi japonaise, elle a vécu à Tokyo pendant 11 ans (elle vient de retourner s’installer au Royaume-Uni) et a fait un énorme travail de référencement en anglais des plongées au Japon. Au travers de nos intérêts communs, nous avons fait connaissance en ligne. Quand elle a su que je venais au Japon, elle m’a gentiment mis en contact avec Ben de Dive Zone Tokyo, un Belge qui vis à Tokyo depuis 5 ans et organise des excursions de plongée en anglais depuis Tokyo tout autour du Japon. C’est ainsi que je me suis allée plonger à la péninsule d’Izu directement après mon arrivée à l’aéroport d’Haneda et que nous nous sommes finalement rencontrées à Tokyo après mes plongées !

Tokyo, une base inattendue pour aller plonger au Japon

Shibuya Tokyo Japan

La capitale du Japon est célèbre pour être une ville électrique qui ne dort jamais et où les modes vestimentaires sont aussi folles que les heures de travail. C’est un arrêt immanquable pour tout premier voyage au Japon. Il y a tant de choses à faire que vous pouvez planifier un séjour complet dans la zone métropolitaine de Tokyo.

Qui pourrait se douter qu’à seulement 1h30 de train de Tokyo on peut trouver des sites de plongée incroyables? Grâce au TGV local, le Shinkansen, puis un transfert rapide via Atami pour la ligne de train régionale d’Izu, l’aller-retour est possible dans la journée. Toutefois, je vous recommande de passer la nuit à Atami ou à Ito avant votre journée de plongée pour mieux en profiter.

Je pourrais écrire un article complet sur Tokyo et quoi y faire. Malgré plusieurs séjours, j’ai encore besoin d’explorer quelques quartiers supplémentaires avant de dire que je connais les meilleurs endroits où aller. Mise à jour février 2019 : mon guide complet sur comment visiter Tokyo est désormais disponible !

Kamakura, escale culturelle en chemin vers la péninsule d’Izu

Great Buddha Daibutsu Kamakura Japan

Selon le temps dont vous disposez, Kamakura est une étape parfaite en direction de la péninsule d’Izu. Si vous avez seulement un long weekend, cela rentrera néanmoins difficilement dans le planning. Si vous disposez d’une semaine devant vous, ça vaut la peine d’y passer un jour pour visiter les trois plus beaux temples de l’ancienne capitale Shogun du 13ème siècle :

  • Daibutsu (Grand Bouddha) : Ce temple bouddhiste a la seconde plus grosse statue de Bouddha au Japon. Le temple est petit mais les jardins autour sont très agréables. Pour y aller depuis la gare de Kamakura, prenez le bus à l’arrêt #1 (200¥) et descendez à Daibutsu. L’entrée coûte 200¥.
  • Hasedera : Ce temple bouddhiste était de loin le plus beau par son jardin montant en terrasse le long d’une colline. J’ai eu la chance d’y voir des pruniers en fleur puisque nous étions fin février. Les photographes adoreront les nombreuses opportunités d’y capturer la beauté des jardins zen japonais. Le temple n’est qu’à 5 minutes à pied de Daibutsu. L’entrée est aussi à 200¥.
  • Hokokuji : Ce temple est célèbre pour sa forêt de bambous qui n’est certes pas aussi imposante que la fameuse forêt d’Arashiyama près de Kyoto, mais qui donne tout de même l’excellente opportunité d’en visiter une près de Tokyo. Cet endroit propose de se relaxer avec un bol de thé matcha tout en regardant la chute d’eau dans la forêt de bambous. L’entrée avec le thé revient à 700¥. Le moyen le plus rapide pour rejoindre ce temple depuis Hasedera est le taxi (1700¥) mais si vous voulez économiser quelques yens, prenez le train local depuis la station Hase juste derrière le temple.

Mes premières impressions de la péninsule d’Izu : onsen, sakura & plongée

Shimoda ryokan Ito Izu Peninsula Japan

En commençant mes recherches sur la péninsule d’Izu, j’ai vite réalisé que ce n’était pas une zone très visitée par les étrangers mais extrêmement populaire auprès des habitants de Tokyo et de Shizuoka pour le tourisme des sources chaudes (onsen). Rien que pour cette raison, j’étais déjà sous le charme. C’était la promesse d’une expérience authentique même si, pour être honnête, on ne rencontre pas non plus beaucoup d’étrangers à tous les coins de rue au Japon. Du nord au sud, Atami, Ito et Shimoda sont des destinations populaires pour passer un weekend relaxant dans les sources thermales loin des grands centres urbains. Grâce à son microclimat, c’est aussi un bon endroit pour voir les sakura (cerisiers) et les ume (pruniers) en fleur dès la fin de février, juste avant la haute saison touristique avec ses augmentations de prix conséquentes.

J’aurais pu faire l’aller-retour dans la journée depuis Tokyo, mais j’ai d’abord pensé que juste après mon arrivée à l’aéroport d’Haneda mon corps me remercierait de prendre un peu pour se reposer. Par ailleurs, j’avais toujours rêvé de passer une nuit dans une auberge traditionnelle japonaise ou ryokan. Sur la péninsule d’Izu, presque tous les ryokan ont leur propre onsen. Seulement j’ai eu deux petits problèmes : les arbres ont commencé à fleurir en avance cette année créant une grosse demande sur les ryokan juste avant que je n’arrive, et j’ai des tatouages dans le dos. Même si les esprits sont plus détendus avec les étrangers ayant des tatouages dans les grandes villes, les tatouages restent un tabou au Japon puisqu’ils sont associés aux yakuza, la mafia japonaise. Des ryokan raffinés peuvent offrir un onsen privé, cela revient cher en général, mais c’est souvent la meilleure solution si vous avez des touages comme moi. Le prix de celui que j’avais initialement choisi était d’environ 17 000¥ (140€) mais il était complet pour le weekend. Ben, de Dive Zone Tokyo a été d’un grand secours et a fini par trouver un vieux ryokan dans son jus, Shimoda Ryokan, pour un tarif très doux et très peu de clients ce qui m’a permis de profiter de son onsen toute seule. Ben s’est presque excusé d’avoir réservé un endroit aussi vétuste avec des fissures dans les murs, mais moi, je l’ai adoré !

La chambre était assez grande par rapport aux standards japonais ; je dirais qu’elle faisait 4 tatamis (c’est ainsi qu’on mesure les surfaces des chambres au Japon). J’avais un futon, une grande table carrée avec 2 coussins rouges sur laquelle se trouvaient de l’eau chaude, du thé vert et un petit gâteau de bienvenue, la penderie contenait un choix de yukata (la version décontractée du kimono que vous êtes supposés porter à partir de votre arrivée au ryokan pour vous faire sentir comme chez vous). Mon diner fut servi dans une salle à manger pavée de tatamis privatisée à mon intention. Un vrai festin m’attendait sur la table : dorade (tai), crabe (kani) et crevettes (ebi). Chaque assiette était minuscule mais j’étais totalement repue à la fin du repas!

Je suis retournée dans ma chambre pour me relaxer un moment et regarder des émissions japonaises à la télé pour fair travailler mon oreille pendant ma digestion. Il est en effet recommandé de ne pas aller dans les sources chaudes juste après avoir mangé. J’attendais également d’y aller un peu plus tard pour être certaine d’avoir l’onsen juste pour moi. Comme je ne suis pas quelqu’un de très à l’aise pour ce qui est d’être nue en présence d’inconnus (même si j’ai eu à le faire dans un sauna en Finlande et un hammam en Turquie par le passé), j’étais contente de pouvoir fermer à clef la porte principale de l’onsen qui se trouvait dans le sous-sol du ryokan. Il y avait des paniers dans la première pièce pour déposer ses habits et sa serviette. Puis j’entrais dans la pièce du onsen qui était toute embuée (rendant la prise de photo impossible). Il faut tout d’abord se laver à l’extérieur du bassin à l’aide des douches et bassines mis à disposition sur le côté. Tout était à disposition : savon, shampoing, après-shampoing. Seulement après vous être bien lavé et rincé, vous pouvez entrer dans le bassin de la source chaude. C’est très chaud, alors prenez votre temps. Ensuite, ce fut un pur moment de relaxation. J’ai tellement aimé que j’y suis retournée pour une rapide trempette le lendemain matin avant ma journée de plongée. Vous trouverez ici l’explication complète de l’étiquette dans un onsen (en anglais seulement).

Le matin suivant, j’avais commandé mon petit déjeuner à 7h00. Etonnamment, c’était assez similaire à mon diner avec du poisson et du riz, mais ça ne m’a pas dérangé. Quoi qu’il en soit, je dirais que ma préférence est allée à l’omelette sur du riz avec du thé vert pour démarrer la journée.

Me croirez-vous que cette expérience extraordinaire ne m’a coûté que 7,500¥ (63€) pour la nuit dans le ryokan, l’accès presque privatif à l’onsen, le diner et le petit déjeuner ? Contrairement aux idées reçues, le Japon n’est pas forcément un endroit hors de prix.

Izu Ocean Park, un spot de rêve pour photographes sous-marins proche de Tokyo

Izu Ocean Park Dive Centre Japan

Le lendemain matin, j’ai retrouvé Ben de Dive Zone Tokyo à 8h30 à la gare d’Ito. Après 15/20min de train, nous sommes arrivés à la gare de Jogasaki-Kaigan. Un trajet de 5 minutes en taxi pour 700¥ était nécessaire pour rejoindre le centre de plongée IOP (Izu Ocean Park ou Izu Kaiyo Koen). Dès notre arrivée, j’ai été émerveillée de la perfection du centre de plongée. Tout était si bien organisé : de grandes tables en bois abritées, d’énormes douches avec des toilettes impeccables, une jolie boutique avec tout ce dont vous pouvez avoir besoin en matériel ou nourriture, et une grande aire de rinçage avec un bac particulier pour les appareils photos. Il y a même un onsen où les gens peuvent aller se relaxer avec leur combinaison de plongée pour la rincer en même temps !

IOP étant une zone de plongée du bord, vous n’avez qu’à vous enregistrer à votre arrivée puis vous êtes libre d’utiliser toutes les installations à votre convenance. Vous devez simplement respecter les horaires : la première entrée est à 9h, la dernière entrée est à 15h. Je n’en attendais pas moins d’un centre de plongée japonais, mais encore une fois, j’ai été impressionnée par tant de perfection. Le coût pour 2 plongées du bord avec bouteilles et plombs fut de 7,000¥ (57€).

L’entrée dans l’eau à l’IOP peut être un peu délicate en raison de vagues permanentes et des rochers glissants. Vous devez attendre en ligne tout équipé pour attraper la corde, installée sur une paroi rocheuse qui s’enfonce doucement dans l’eau, qui va vous permettre d’atteindre gentiment l’eau sans tomber. Près de l’eau, Ben et moi avons enfilé nos palmes puis sommes entrés prudemment dans l’eau à reculons. Une fois l’eau arrivée à la taille, nous avons poussé sur la paroi puis palmé pour nous en écarter. J’ai nettoyé mon masque et j’étais alors prête pour ma toute première plongée au Japon !

Quand Ben a mentionné que IOP était un bon endroit pour les photographes sous-marins, je me suis imaginé un site de plongée peu profond, similaire à de célèbres sites de muck dive, où vous cherchez de petites bébètes dans le sable. J’avais tort : il y a un peu de tout à IOP. Vous pouvez rester peu profond et passer du temps avec votre lentille macro à photographier les magnifiques anémones gardées par un couple de demoiselles noires et blanches, ou jouer avec les crevettes sakura qui sautent de rochers en rochers.

Ou alors, vous pouvez aussi suivre un tombant couvert de gorgones jaunes et de coraux mous blancs et pourpres qui vous emmènera jusqu’à 25m de profondeur. A cet endroit, en seulement 2 plongées, j’ai vu 2 napoléons, une énorme limande et une raie pastenague de belle taille. Toutefois, les deux rencontres les plus marquantes de ces plongées furent la murène dragon, qui a de petites cornes sur la tête, de magnifiques taches rouges et jaunes et des dents semblables à du verre, et de larges oursins multicolores qui ne ressemblent à rien de ce que j’ai vu avant. Assurez-vous d’avoir bien rechargé vos batteries avant votre journée de plongée car vous allez en avoir besoin !

Comme vous pouvez le voir sur les photos, j’ai plongé avec mon étanche, la Fusion de chez Aqua Lung, car l’eau était à 15°C, mais en même temps, c’est la température la plus froide qu’elle atteigne en février/mars. A partir de juin, vous pouvez recommencer à plonger en humide et l’eau peut monter jusqu’à 27°C en été.

Les bouteilles disponibles étaient de 10L ou de 15L, j’ai effectué une plongée de 50min avec une profondeur max de 24m avec une 10L sur la première plongée, et parce que je voulais ajouter un peu de poids sur ma seconde plongée, j’ai pris une 15L pour une plongée de 66min avec une profondeur max de 20m. Nous somme parti pour notre première plongée à 11h et pour la seconde à 13h après avoir mangé les délicieux bento (plateaux repas traditionnels japonais) que nous avions précommandés en arrivant à la boutique de plongée.

Important : pour ceux dont le détendeur est en DIN comme moi, n’oubliez pas votre adaptateur comme pour l’Amérique du Nord et les Caraïbes.

Plonger à IOP était vraiment une incroyable surprise, c’était comme plonger avec des poissons tropicaux dans de l’eau froide, un peu étrange, mais fabuleux en définitive. Maintenant, je suis curieuse découvrir tous les autres sites de plongée de la péninsule d’Izu tels que Atami pour de la plongée sur épave ou Mikimoto pour avoir une chance de plonger avec des requins marteau! Il y a aussi les îles d’Izu que vous pouvez atteindre avec un ferry de nuit directement depuis le port de Tokyo telles que Oshima surnommée “Fish TV” et Miyakejima pour une opportunité de nager avec les dauphins. Toutefois, ce sera pour un autre voyage plus long au Japon. J’ai hâte!

Comment aller à Izu depuis Tokyo ?

Taking the train from Tokyo to Izu Japan - Tokyo Main Station

こんにちは。電車のきっぷ伊東にください、熱海に新幹線でください。

« Konnichiwa! Densha no kippu Itou ni kudasai. Atami ni Shinkansen de kudasai.« 

Ce moment où j’ai acheté mon billet entièrement en japonais à la gare de Tokyo fut un grand moment de joie et de fierté après un an et demi à étudier le japonais. Je crois que c’est pour ces instants magiques que je continue à apprendre des langues étrangères. Quand vous commencez à être compris, et que vous pouvez comprendre ce que les gens disent autour de vous est si stimulant. J’avais presque oublié ce sentiment maintenant que je parle couramment anglais et espagnol depuis plus de 10 ans. Toutefois, je crois que je vais avoir ce sentiment encore un moment car ce sera un gros challenge de parler couramment en japonais.

Bien entendu, si vous ne parlez pas japonais, montrer la direction sur une carte avec un grand sourire et les deux mots magiques en japonais, Sumimasen (excusez-moi) et Onegaishimasu (s’il vous plait) marche aussi! D’une façon générale, comparé à ma première visite à Tokyo il y a 7 ans, j’ai été impressionnée par le changement. La ville se prépare pour les Jeux Olympiques de 2020. Tous les panneaux et affichages sont bilingues japonais/anglais. Difficile de se perdre!

Il y a deux options pour aller à Izu. La plus chère et la plus rapide est d’utiliser le train à grande vitesse (Shinkansen) de Tokyo à Atami puis de prendre la ligne JR allant à Shimoda. C’est l’option que j’ai choisie après mon arrivée à l’aéroport d’Haneda à 15h pour être certaine d’arriver pour l’heure du diner à mon ryokan (max 19h).

Le prix était de 4,520¥ (environ 37€), et il m’a fallu 1H30 pour m’y rendre. J’ai quitté la gare de Tokyo à 16h26 et j’étais prête pour le diner au ryokan à 18h30 (affamée!). Pour le retour à Tokyo, Ben et moi avons pris la ligne JR tout le long. C’était beaucoup moins cher, seulement 2,800¥ (environ 23€), mais le train s’arrêtait à toutes les stations, y compris dans Tokyo, il m’a donc fallu 3 heures pour rentrer. Après un levé bien matinal, j’ai dormi presque tout le long. Heureusement Ben avait pris des billets avec supplément pour avoir les sièges inclinables de la Green Car (une sorte de première classe, rien d’écolo), autrement, nous aurions passé plus de 2 heures debout ! Le supplément pour la Green Car était d’environ 800¥. Donc, si vous voulez faire des économies, sachez que vous pouvez faire l’aller-retour pour un peu moins de 4,000¥ (32€).

Bon à savoir : il y a des escalators et/ou des ascenseurs dans toutes les gares et sur tous les quais, donc voyager avec un sac de plongée se fait sans aucune difficulté!

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Posted by Florine

  1. Bonjour Florine et merci pour cet article documenté sur la péninsule d’Izu.
    Je n’arrive pas à retrouver le Shimoda ryokan via le lien dans l’article.
    Je crois qu’il s’agit du site de la ville d’Ito.
    Aurais-tu un autre lien par hasard ?

    Merci,
    Daria

    Répondre

    1. Bonjour Daria, je suis retournée 2 fois depuis à Ito, et j’ai un bien meilleur endroit a recommander maintenant et aucun problème pour ceux qui ont des tatouages:
      https://www.booking.com/hotel/jp/historical-ryokan-hostel-k-s-house-ito-onsen.en.html?aid=908126&no_rooms=1&group_adults=1

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